Dans la brume matinale de ce lundi 18 mars, les ondes de France Inter s’animaient sous la voix de Bruno Le Maire.
Là, dans cet écrin sonore, il a évoqué l’idée lumineuse, voire audacieuse, d’Aya Nakamura illuminant l’ouverture des Jeux olympiques parisiens. L’image est captivante : cette artiste, étoile de la chanson, empruntant les mélodies d’Édith Piaf pour les offrir au monde.
Imaginez la scène : Paris, son éclat, son effervescence, accueillant les athlètes et les spectateurs du globe. Et là, au cœur de cette fête du sport et de la culture, Aya Nakamura. Sa voix, unique, enveloppe la ville lumière, tissant un pont entre passé et avenir, entre Piaf et le présent. C’est une France qui ose, qui s’ouvre, qui se partage.
Bruno Le Maire, notre ministre de l’Économie, se dévoile, révélant une facette inattendue. Il se dit « fan », un mot léger, mais chargé d’une affection sincère, peut-être teintée de la nostalgie des mélodies résonnant dans l’intimité de son foyer, animé par ses enfants, ces jeunes âmes vibrantes au rythme de Nakamura.
Pourtant, une ombre plane, celle de la polémique, de la critique acerbe, parfois teintée de préjugés. Mais Le Maire, avec ferveur, repousse ces ombres, défendant l’idée d’une France fière de ses talents, de ses diversités, prête à se réinventer, à écrire un nouveau chapitre de son histoire sur la scène mondiale.