Sylvie Tellier partage sans retenue dans son nouvel ouvrage intitulé Couronne et préjugés, publié chez Fayard. Ce livre promet d’être une fenêtre ouverte sur ses expériences et épreuves personnelles au sein de la société Miss France, où elle a longtemps œuvré en tant que directrice générale.

Sylvie, également mère de trois enfants, y dépeint un parcours jonché d’embûches, comme le jour où elle fut accueillie par des propos peu encourageants de Xavier de Fontenay, lui suggérant de se cantonner à des tâches subalternes malgré ses qualifications supérieures.
Tensions et réconciliations

Libérée de ses fonctions administratives, Sylvie Tellier ne mâche plus ses mots. Elle évoque des moments où la gestion des personnalités des lauréates s’avérait complexe.
Des figures comme Sonia Rolland et Élodie Gossuin, autrefois en froid, ont nécessité une organisation particulière pour un shooting, reflétant des rivalités désormais apaisées.
Sylvie souligne aussi la fin de certains liens numériques avec Valérie Bègue et Cindy Fabre, illustrant une rupture de communication dans le monde interconnecté d’aujourd’hui.
Évocations de liaisons et changements culturels

Au fil de l’entretien, Tellier ouvre le voile sur des aspects moins reluisants du concours de Miss France. Elle confirme que des liaisons se sont tenues entre membres du jury et candidates, des interactions influencées par le charisme et le pouvoir de ces hommes.
Ce phénomène, bien que connu des initiés, s’inscrit dans une ère antérieure à l’avènement du mouvement #MeToo, qui a revu les dynamiques de pouvoir à travers divers secteurs, y compris celui du divertissement et des concours de beauté.










