Anthony Colette, champion de la treizième saison de « Danse avec les stars » aux côtés de Natasha St-Pier, a annoncé son retrait du célèbre concours de danse, une décision qui n’est pas liée à un choix délibéré mais à une évolution de ses aspirations professionnelles.
Dans une récente discussion avec le Youtubeur LeBouseuh, Anthony a exprimé ses sentiments mitigés concernant son avenir dans la danse et a révélé ce qui pourrait éventuellement le faire revenir sur le parquet de TF1.
Une Pause Réfléchie
Dans un message sincère publié sur Instagram le 15 janvier, Anthony avait partagé son sentiment d’ambivalence quant à sa participation à « Danse avec les stars », indiquant qu’il ne s’agissait pas d’un choix prémédité. « Dans ma tête, c’est terminé. Qu’on m’appelle ou pas, c’est pareil, » a-t-il déclaré, signifiant ainsi une certaine rupture avec le monde de la danse compétitive, malgré l’amour qu’il porte à cet art.
Une Question de Valeurs… et de Finances
L’aspect financier n’est pas à négliger dans sa décision. Anthony a ouvertement parlé des conditions qui pourraient influencer son retour, notamment une augmentation significative de sa rémunération. « Il faudrait vraiment faire du fois trois, » a-t-il affirmé, faisant référence à son salaire antérieur de plus de 50 000 euros par saison. Pourtant, il souligne que l’argent n’est pas le seul facteur, valorisant son intégrité et le respect de soi avant tout. « Je ne le fais pas, j’ouvre une épicerie, » ajoute-t-il, illustrant son choix de privilégier d’autres voies si nécessaire.
Un Soutien Continu à ses Collègues
Malgré son éloignement de la compétition cette année, Anthony reste connecté au monde de « Danse avec les stars » à travers ses relations avec d’anciens collègues. Il exprime un soutien particulier pour Jordan Mouillerac, participant actuel et ami proche. « Je pense que c’est son année. J’aimerais trop qu’il gagne. Ça serait magnifique, » partage-t-il, révélant son désir de célébrer le succès potentiel de Jordan de la même manière qu’ils avaient célébré le sien.