Un incident inhabituel a émergé de Marseille, où un simple accident impliquant du gel douche a mené à une demande de dédommagement exorbitante de 300 euros par la propriétaire d’un appartement Airbnb.
La situation a rapidement capté l’attention du public, accumulant des millions de vues sur les réseaux sociaux, et a suscité une intervention de la plateforme de location.
L’histoire a débuté lorsque le locataire, après avoir séjourné dans un appartement Airbnb à Marseille, a été confronté à une réclamation pour dommages surprenante de la part de la propriétaire.
Elle affirmait que des gels douches laissés ouverts avaient coulé et taché un meuble de la salle de bain, nécessitant le remplacement de l’ensemble du meuble, car le tiroir taché ne pouvait pas être remplacé seul.
Viralité et Débat Public
La mésaventure du locataire, partagée sur le réseau social X, a rapidement gagné en notoriété avec près de 17 millions de vues.
Dans son post, le locataire exprimait son incrédulité face à la somme demandée pour une tache apparemment mineure, suscitant un large débat sur les responsabilités et les attentes en matière de locations temporaires.
Sa publication a révélé les frustrations souvent rencontrées par les utilisateurs de services de location face à des accusations jugées déraisonnables.
Face à l’ampleur de la situation et la pression publique, Airbnb est intervenu. Après examen, la plateforme a tranché en faveur du locataire, l’exonérant du paiement de la somme réclamée.
La plateforme envisage désormais de compenser la propriétaire après une évaluation approfondie de la réclamation, illustrant les défis de gestion des litiges dans l’économie du partage où les attentes des hôtes et des invités peuvent considérablement varier.
