Cette affaire judiciaire suscite une vive émotion en France : 51 hommes, de 26 à 74 ans, comparaissent devant le tribunal d’Avignon pour le vi0l de Gisèle Pélicot.
Parmi eux, Dominique Pélicot, le mari, est accusé d’une trahison impensable, ayant orchestré l’agression de son épouse pendant son inconscience.
Les révélations du procès, rapportées par Le Figaro, dépeignent un tableau glaçant des comportements des accusés.
Certains d’entre eux, loin de montrer du remords, partagent des stratégies pour détourner leur responsabilité ou même rient de la gravité de la situation.
Ces attitudes en disent long sur la banalisation de la vi*lence se*uelle et la déshumanisation de la victime, rendant le procès d’autant plus troublant pour l’opinion publique.
Le comportement de certains accusés durant le procès ajoute une couche de mépris à l’affaire.
Un des hommes a même pris un selfie dans la salle d’audience, posant de manière déplacée, ce qui reflète une indifférence alarmante pour la gravité de leurs actes et le respect dû à la justice et à la dignité de la victime.